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A la recherche de l'intérêt général
Pratiques
- Engagement associatifIl y a 1 moisFaites connaître vos engagements associatifs, don de temps, compétences, connaissances, responsabilités et/ou missions assuméesVous êtes ou avez été bénévole ou élu au sein d'un organisme associatif ? Vous avez été missionné pour assumer une responsabilité pour le compte et au nom d'une association ? Faites connaître vos engagements associatifs pour montrer l'exemple et diffuser une culture de l'engagement citoyen et associatif !Les Amis de l'Odissée ( → )
- Nom de l'association
- Les Amis de l'Odissée
- Type d'engagement (bénévolat ou intitulé de la fonction, mission ou responsabilité)
- Délégué général
- Résumé de la mission en deux phrases
- Déployer un nouveau discours sur la méthode de gouvernance et de réforme, en lien avec des réseaux de grands acteurs et grands observateurs.
- Quelles compétences avez-vous mises en oeuvre (ou mettez-vous en oeuvre) ?
- Animation de plus de 200 forums publics, 50 missions stratégiques auprès de Directions générales de grandes entreprises et de Comités directeurs et Conseils d'administrations d'organismes publics, sociaux et associatifs
- Quelles compétences ou connaissances nouvelles avez-vous acquises dans le cadre de cette mission ?
- - Modélisation des huit familles de Modèles de l'Intelligence Sociale. - Conception des outils du dialogue - Définition des principes d'animation de la réflexion collective - Rédaction des rapports L'état social de la France - Formalisation des processus Vivre ensemble et Réussir ensemble - Structuration du réseau des grands acteurs et observateurs Amis de l'Odissée
- Aide au développementIl y a 8 moisPartagez les bonnes pratiques d'aide au développement !Organisation de la concertation entre tous les acteurs publics et associatifs
- Votre organisation :
- Organisation de la concertation entre tous les acteurs publics et associatifs
- Et si c'était à refaire ? De quelles contraintes et opportunités faut-il tenir compte pour optimiser l'impact de cette action ?
- Aide et action
- Titre de la pratique :
- Bâtir des partenariats
- Qui a pris l'initiative du projet ?
- Faire participer toutes les personnes à l'effort d'éducation : co-construire les projets, mettre les projets en cohérence Sachant qu'en France : - retard sur les partenariats - plutôt logique de sous-traitance à des acteurs associatifs
- Quel est (était) le principal but recherché ?
- Recherche-action : - Études auprès des parents d'élèves, des enseignants et des élèves. - Création de groupes de travail par territoire, par thème - 12 à 15 personnes - 1 fois par mois pendant 1 an et demie - réunions, visites de sites, rencontres avec des enseignants, familles, élèves Exemples de thème : impact de l'origine sociale sur la réussite scolaire. - Comment avancer vers une compréhension réciproque entre l'école et les familles - Comment développer la compréhension des cultures éducatives - Comment expliciter et gérer les écarts entre la culture scolaire et les cultures familiales - Quelle stratégie, formation, pratique de l'enseignant pour favoriser le partenariat famille/école - Comment l'ouverture de l'école peut-elle être un levier d'apprentissage
- Quelle action a été déployée ?
- Outils d'évaluation : grilles d'analyse, questionnaires L'expérience d'Argenteuil et de Villiers le bel : en voie de publication à Garge les Gonesses
- Action citoyenneIl y a 10 moisQuelles sont vos actions citoyennes ?Partagez vos meilleures actions citoyennes. Quelle est leur forme ? Quels sont leurs objectifs et leurs résultats ? Comment est née votre idée et comment s'est construit votre projet ?Congrès pour la Paix Israël-Palestine 2003
- Titre de votre action
- Congrès pour la Paix Israël-Palestine 2003
- Domaine d'action concerné
- Préparer et animer cinq journées continues de débats entre diplomates, universitaires, religieux ONG, médias de quinze nationalités
- Nom de la structure associative dans laquelle vous vous êtes impliqués
- L'Odissée
- Objectif : Quel est le principal but recherché ?
- Construire des instants et une culture de respect des différents vécus, expériences, informations, projets.
- Action : Quelle action est ou a été déployée ?
- Congrès pour la Paix Israël-Palestine en 2003 Congrès pour la Paix au Congo en 2004 et 2005
- Vos Bonnes Pratiques Il y a 10 moisPartagez vos pratiques ou celles d'autruiTour de France Citoyen (1992 → )
- Titre de la pratique
- Tour de France Citoyen
- Qui est bénéficiaire ? Quels sont les publics ciblés ?
- Toutes les personnes, toutes les organisations
- Qui est impliqué ? Quels acteurs ont participé à l'action ?
- De très nombreux décideurs de toutes les sphères. Elle se déploie en lien avec des partenaires :
- Coordonnées de la personne à contacter pour en savoir plus :
- contact@odissee.info
- Thème
- Organiser le débat public sur tous sujets de société ou internes à un organisme
- Auteur (personne ou organisme)
- L'Observatoire du Dialogue Social
- Action (Quelle action a été déployée ?) :
- De nombreux Tours de France Citoyens et été conçus et animés par l'Odis
- Objectif (Quel est le principal but recherché ?) :
- . Étude : connaître les opinions et attentes des associations sur le thème retenu . Réflexion stratégique : identifier des propositions concrètes et ambitieuses et des champs d'actions . Communication : sensibiliser les citoyens et les médias aux enjeux du thème retenu et de communiquer des informations inédites à travers une démarche interactive . Lobbying : créer dans toute la France des groupes de travail regroupant des acteurs susceptibles de devenir des forces de propositions sur des sujets liés au thème retenu . Validation et faisabilité : identifier les conditions du changement, tester des idées, identifier les conditions de leur mise en ouvre, modéliser des pratiques pouvant donner lieu à des changements de comportement et qui feront progresser la société sur la voie du dialogue, de la transparence et de la responsabilité.
- Bilan (Quel est le résultat obtenu ?) :
- . Réaliser une vaste étude auprès des organismes partenaires sur le thème défini par le comité de pilotage Citoyenne . Organiser la réflexion de tous les acteurs concernés par ce thème : citoyens, élus, associations, entreprises, pouvoirs publics, collectivités territoriales, universitaires,... . Communiquer auprès de tous ces acteurs
- La genèse : Comment l'idée est-elle née ?
- De l'étude permanente menée "Comprendre et dévélopper la Personne, la Société et l'Entreprise" et de ses multiples Tables rondes thématiques, événements citoyens, études quantitatives, monographies sectorielles ou internes aux organisations, ainsi que des Démarches d'organisation du dialogue déployées au sein de nombreuses organismes et en lien avec leurs diverses parties prenantes.
- Qui a pris l'initiative du projet : Quels sont les porteurs du projet ?
- L'Odis apporte son expertise en termes d'Intelligence Sociale, l'Odissée apporte ses expertises thématiques.
- Pourquoi avez-vous conduit cette action ? Quelles étaient vos motivations ?
- Construire une culture de responsabilité interllectuelle.
- Vos Bonnes Pratiques Il y a 10 moisPartagez vos pratiques ou celles d'autruiGouvernance (1992 → )
- Titre de la pratique
- Gouvernance
- Coordonnées de la personne à contacter pour en savoir plus :
- Tél : 01 40 70 08 89
- Thème
- Organiser la réflexion collective au sein des organisations
- Objectif (Quel est le principal but recherché ?) :
- Impliquer les personnes dans la recherche de l'intérêt collectif de l'ensemble de leurs parties prenantes à long terme.
- Action (Quelle action a été déployée ?) :
- Concevoir, préparer, animer des séries de modules de dialogue au sein d'une organisation.
- Bilan (Quel est le résultat obtenu ?) :
- Transformer les personnes et les systèmes : - aider chacun à mieux comprendre son environnement et à mieux s'y positionner - renforcer les marges de manœuvre des acteurs pour leur permettre de déployer l'innovation plus vite et à plus grande échelle.
- La genèse : Comment l'idée est-elle née ?
- L'expérimentation de mécanismes interactifs dans des contextes et des sujets très variés a permis la modélisation progressive d'un mécanisme d'irrigation d'un corps social d'une culture de respect des personnes, des faits et des idées.
Démarche CSE
Démarche CSE en pratique Il y a 3 ansQuelles sont les conditions de réussite du CSE ? Sur quoi et comment doit-il travailler ?Organiser le dialogue- Autres propositions :
- Organiser le dialogue
Management
Pratiques de gouvernanceIl y a 3 ansPartagez vos pratiques !????- Objectif (Quel est le principal but recherché ?) :
- ????
- Action (Quelle action a été déployée ?) :
- ????
- Bilan (Quel est le résultat obtenu ?) :
- ????
- Manger mieuxIl y a 9 ansPartagez vos idées et pratiques pour contribuer à aider les Hommes à manger mieux chaque jour.La mutualisation de vos engagements et propositions d'engagement servira à : - recenser tous les engagements possibles et souhaitables, - modéliser et déployer les actions les plus innovantes, - évaluer et faire connaître votre capacité personnelle et collective à porter ensemble notre vaste projet !Forum (01 juillet 2014 → )
- Titre de la pratique, engagement ou proposition
- Forum
- Qui sont les bénéficiaires ? Quels sont les publics ciblés ?
- L'humanité.
- Qui est impliqué ? Quels acteurs doivent être impliqués dans le déploiement de l'action ?
- Les hommes, quel que soit leur statut : consommateur, salarié, actionnaire, client, fournisseur, producteur.
- Thème
- Comment aider les hommes à manger mieux chaque jour ?
- Porteur de l'engagement (personne ou organisme), si ce n'est pas vous-même
- Fleury Michon
- Objectif (Quel sont les buts recherchés ?)
- Impliquer les collaborateurs dans la construction d'un meilleur monde agroalimentaire.
- Action (Préciser le processus qui sera ou devrait être déployé)
- Organisation de la réflexion collective sur la base du questionnaire préparatoire "Manger mieux" qui permet d'établir en amont : 1 - un Catalogue de pratiques 2 - un recueil de témoignages qui donne lieu à un Livre bleu 3 - un Q.I.Social thématique qui permet d'établir un sociogramme statistique et de repérer la diversité des aspirations, des contextes et des pratiques, l'ensemble en lien avec les parties prenantes 360° des participants. Distribution de la parole à la diversité des acteurs dans le but d'établir : A) Un diagnostic partagé B) Des pistes de solutions C) Des engagements pratiques de la part de chacun, sur les trois plans : personnel, professionnel et sociétal.
- La genèse : Comment l'idée est-elle née ?
- Les forums de réflexion s'inscrivent dans une vaste démarche "Manger mieux" construite en partenariat avec l'Odissée, conçue et animée par l'Odis.
- Qui a pris l'initiative du projet : Quels sont les porteurs du projet ?
- Le projet est construit et piloté en partenariat par l'Odis et Fleury Michon.
- Pourquoi avez-vous conduit cette action ? Quelles étaient vos motivations ?
- Nous voulons aider les hommes à manger mieux chaque jour (voir l'exposé des motifs de la démarche).
Témoignages
Gouvernance V0
Gouvernance : diagnostic et propositionsIl y a 1 moisComprendre et développer la relation entre dirigeants et dirigés dans l'entreprise et dans la société.test- Forces
- test
- Faiblesses
- test
- Propositions
- test
- Votre vision globale Il y a 4 moisPour quelles raisons et à quelles conditions faut-il apporter davantage de dialogue et de citoyenneté dans la société et dans l'entreprise ?Une vocation et une expertise : Organiser le Dialogue et l'Intelligence Sociale
- Votre vision de la société et de l'entreprise en 1 phrase
- Une vocation et une expertise : Organiser le Dialogue et l'Intelligence Sociale
- L'essentiel de votre point de vue en quelques lignes
- Impliquer le plus grand nombre de personnes dans l'étude interactive permanente Comprendre et développer la Personne, la Société et l'Entreprise
- Le diagnostic que vous portez sur votre environnement professionnel, sur votre secteur d'activités, sur la place de la France en Europe et dans le monde
- Pour construire le mouvement d'un corps social, il est nécessaire d'en comprendre toutes les composantes et d'en décrypter les inter relations. La conjugaison de la mondialisation qui complexifie les sujets avec la médiatisation qui les rend immédiats développe notre ressenti des enjeux. Aux yeux du plus grand nombre, la capacité des autorités à résoudre les problèmes s'affaisse et leur légitimité avec. Notre contrat social doit être dynamisé dans deux directions : une citoyenneté activée par chacun et une gouvernance organisatrice de la réflexion collective.
- Les pistes que vous proposez pour développer ensemble la cohésion sociale et la performance durable
- LA SOCIETE, LE CITOYEN ET LE DIRIGEANT Les trois grands types de motivation Le citoyen n’est pas unique : trois grands profils sont identifiables par trois types de motivations. Les premiers sont mus exclusivement par leurs intérêts personnels. Soit parce qu’exclus ou s’excluant du collectif, ils n’ont plus aucun choix, soit parce que ce sont des individualistes concentrés sur leur vie personnelle et leur entourage immédiat. Les seconds ont un centre d’intérêt plus élaboré, que se soit leur avenir et leur carrière, un enjeu local ou un enjeu thématique plus global de société dont ils ont pris conscience et pour lequel ils s’investissent par l’action et/ou la réflexion. Enfin, certains sont engagés par la réflexion et/ou l’action dans la recherche de l’intérêt général. L’impact de la société du « savoir » La société du « savoir » dans laquelle nous entrons progressivement transforme ces différents acteurs. Les premiers deviennent des consommateurs exigeants, conditionnés et perdant parfois la maîtrise de leurs décisions, certains allant jusqu’à se sur endetter pour satisfaire à la loi du paraître. Très informés et faisant présider leurs intérêts particuliers à leurs choix sans se préoccuper d’autrui, ceux-là se soumettent à la loi du zapping, de la promotion et de l’aubaine. Ils utilisent tous leurs droits au point de les considérer comme un dû sans jamais se poser la question de l’origine de ces droits : ils rejettent toute part de responsabilité. C’est ainsi par exemple qu’on en arrive à devoir leur signaler qu’il fait chaud pour qu’ils pensent à donner à boire aux personnes âgées. Il en va différemment pour ceux qui ont un centre d’intérêt : ayant accès à l’information, ils peuvent devenir des experts d’un domaine, capables de défendre une cause de façon toujours plus fine et argumentée. Ainsi par exemple, les « antinucléaires » savent souvent montrer les risques de la filière nucléaire sans toutefois être en mesure d’élaborer une politique énergétique. D’autres enfin deviennent, grâce au développement de la société du savoir, des citoyens exigeants à l’écoute de toutes les informations en provenance de toutes les parties prenantes et cherchant à se forger une vision à long terme de l’intérêt général. Ces derniers développent une pensée critique et constructive. Ceux-là font partie des lecteurs de plus en plus nombreux des ouvrages de philosophie et des essais en matière d’économie et de sociologie. Notre société est composée de tous ces profils d’acteurs : - Des acteurs mus par l’intérêt général, dépassant leurs seuls intérêts particuliers, - A l’autre bout du spectre, des conservateurs réfractaires à tout changement, arc boutés sur le présent, regardant vers le passé, - Au centre, des acteurs à la réflexion souvent partielle et axée sur un, voire plusieurs thèmes. Pour être élu, quel que soit le champs d’action, il faut se situer à l’épicentre du corps social, à équidistance entre les « conservateurs » et les « progressistes ». Le législateur, un peu en amont du pouvoir exécutif, a pour mission d’innover et de tirer progressivement le corps social vers de nouvelles pratiques en induisant de nouveaux comportements à travers la loi. Le judiciaire, un peu en aval, a lui la mission de faire entrer dans le rang ceux qui sont à la traîne dans l’application de la règle. Il en va de même pour chaque secteur et composante de notre société. Chaque corps intermédiaire est constitué d’individus innovants et d’individus bloquants. Diriger un syndicat, un parti politique, une association suppose de se placer en son épicentre, sous peine, là encore, de ne pas occuper durablement la place ou de ne jamais obtenir la fonction. Or, étant donné que les dirigeants sont les plus légitimes pour prendre la parole, puisqu’ils bénéficient de la représentativité statutaire, et qu’ils sont par nature les « mandataires » du corps social, il est normal que le débat public ait lieu entre eux. Mais se plaçant tous à l’épicentre de leur corps social, le risque est grand qu’ils occupent des positions claniques et de défense d’intérêts particuliers. Face à ces facteurs d’inertie, l’élu peut naturellement être tenté par les sirènes de la démagogie, privilégiant ainsi son intérêt personnel par rapport à l’intérêt collectif, acceptant le conservatisme au détriment du progrès. Le manque de maturité du corps social, qui a peur du changement, peur de perdre ses acquis, peut entretenir les élus dans ce refus de la réforme. Or sans réforme, c’est l’avenir, l’intérêt et le bonheur collectif à long terme que l’on hypothèque. Le règne des réseaux et des intérêts particuliers place les médias dans une situation délicate dans laquelle ils reçoivent des thèses et des antithèses émises par les parties prenantes, qui savent les présenter de façon attractive. Seule la construction de synthèses approfondies permettrait de classer l’information de façon exhaustive, puis de la hiérarchiser pour construire des raisonnements rigoureux de façon objective. Evidemment, cela suppose un lourd travail, des moyens et du temps rarement disponibles. L’urgence règne : l’actualité est très prenante et les citoyens ne sont que minoritairement demandeurs de constats précis et objectifs. La tentation est donc grande de reproduire telles quelles les informations reçues. La dictature de l’audimat entraîne le risque pour les médias eux-mêmes de tomber dans ce travers. Concernant plus particulièrement la télévision, les « talk-show » et la « telé-réalité » sont l’archétype de ce phénomène. Le journaliste chroniqueur qui met en perspective l’actualité, l’analyse et en propose une lecture semble se faire de plus en plus rare, au profit d’une multiplication des micro-trottoir où l’on fait intervenir l’homme de la rue, souvent soucieux d’abord de son égo et prenant trop peu de recul pour justifier sa prise de position. L’opinion publique ne peut ainsi pas être une opinion argumentée. Elle repose plus souvent sur des opinions a priori que sur des raisonnements argumentés. L’imaginaire social est à l’ouvre, il reçoit des mythes, des représentations de la réalité et y souscrit avec bien peu de réserves. Plus la situation est complexe, moins les citoyens la comprennent et moins ils sont prêts pour la réforme. Les responsables politiques et sociaux sont alors pris dans le filet des contraintes structurelles mais aussi culturelles. Dans ce contexte, réformer est difficile, si ce n’est impossible. Ainsi, la boucle se ferme : il est légitime pour les intérêts particuliers de camper sur leurs positions puisque l’on ne prend pas le temps d’aller au fond de l’analyse pour réformer intelligemment. Sans réflexion collective, chacun reste sur son quant à soi et notre société demeure dans l’impossibilité d’aborder des problèmes récurrents comme le déficit de la sécurité sociale, le chômage, les déficits publics. Elle est a fortiori impuissante face aux nouveaux enjeux comme la paupérisation d’une partie de la planète, le réchauffement climatique, la génétique. Dialectique sociale Si nous voulons être capables de traiter ces problèmes au fond, il va donc nous falloir inventer une méthode de partage des connaissances par le plus grand nombre. Nous voyons bien le lien direct entre dialogue et performances. C’est en organisant des processus participatifs autorisant l’écoute de chacun que l’on comprend le niveau de conscience des contraintes du collectif pour le faire progresser et que l’on se donne le plus de chances d’identifier toutes les bonnes idées. Alors seulement des solutions nouvelles sont non seulement définies mais appropriées aux problèmes et appropriées par tous : le changement est alors demandé par des individus rendus adultes dans leur réflexion par leur connaissance des contraintes et alternatives. Mais évidemment, si le processus participatif transforme l’individu en citoyen, organiser cette participation et donner la parole à des consommateurs exclusivement égocentrés serait contre productif. Il y a donc bien sinon un préalable, du moins un corollaire aux processus participatifs : l’engagement des citoyens pour la cité. Quelle que soit la motivation initiale d’un individu, nous devons trouver comment utiliser ses compétences – chacun en a – pour lui donner un rôle dans la société. L’observation des processus de responsabilisation montre que c’est en menant une action au service de l’intérêt général, en assumant un rôle qui nous dépasse, que nous prenons conscience de la complexité du monde qui nous entoure. C’est alors que nous acquérons une posture de responsabilité. Nous devons donc faire attention à ce que chacun autour de nous, dans nos entreprises, associations, syndicats, fédérations professionnelles, déploie ses compétences, pour une petite part au moins, non pas exclusivement pour satisfaire son intérêt particulier à court terme ou de carrière, mais pour autrui, pour se mettre au service des autres. Les français l’ont compris : dans une enquête réalisée par l’Observatoire du Dialogue Social au lendemain du 1er tour des élections présidentielles, ils indiquaient que le principal enjeu auquel doit s’attacher le gouvernement est bien la citoyenneté et la démocratie (pour 34% d’entre eux), devant la sécurité (30%) et l’emploi (27%). Ainsi, nous sommes face à un enjeu de changement de civilisation. La globalisation et la mondialisation font peur : la tentation du repli sur soi est grande. Notre histoire se raconte par les guerres et les exemples de philosophes et inventeurs qui, ayant eu raison avant l’heure, furent punis d’être trop en avance. Nous ne pouvons nous satisfaire de systèmes qui font primer le passé sur l’avenir, qui interdisent l’anticipation, dans lesquels s’engager en toute bonne foi revient à passer pour le naïf. Nous allons devoir faire preuve de créativité et de pragmatisme pour inventer des méthodes de réflexion collective qui permettront d’élaborer et de partager des constats objectifs, appropriés par tous, et de tendre ainsi vers l’émancipation de la condition humaine. Mais nous allons aussi devoir inventer des processus d’implication de chacun dans la construction d’une société plus juste et plus performante, dans la construction de solidarités intergénérationnelles, interethniques, interculturelles tant dans l’espace national que dans l’espace européen, et même dans l’espace mondial. Il ne s’agit pas d’une utopie ou d’une incantation, mais d’une méthode : observer le terrain, écouter beaucoup, maîtriser les processus de dialogue et de réflexion collective pour identifier les racines des problèmes, les meilleures idées et les meilleures pratiques. Les actions des finalistes des Trophées du Dialogue et de l’Engagement constituent d’excellents repères pour cerner ce que chaque citoyen et chaque organisation devraient faire.
Vous et les Taxis citoyens
Les conditions du succès Il y a 4 moisComment les Taxis Citoyens doivent-ils s'y prendre pour contribuer à construire une société meilleure ?Quels contacts établir avec les passagers, le gouvernement, les parlementaires, les élus locaux, les syndicats, les associations et les médias...?Construire un processus qui inclut la présentation publique de la parole des citoyens recueillie par les taxis citoyens.- Vos propositions pour garantir la réussite des Taxis Citoyens :
- Construire un processus qui inclut la présentation publique de la parole des citoyens recueillie par les taxis citoyens.
Vous et les Taxis citoyens
Les conditions du succès Il y a 6 moisComment les Taxis Citoyens doivent-ils s'y prendre pour contribuer à construire une société meilleure ?Quels contacts établir avec les passagers, le gouvernement, les parlementaires, les élus locaux, les syndicats, les associations et les médias...?Construire un noyau dur d’une vingtaine de taxis prêts à s’engager dans la dynamique des Taxis citoyens- Vos propositions pour garantir la réussite des Taxis Citoyens :
- Construire un noyau dur d’une vingtaine de taxis prêts à s’engager dans la dynamique des Taxis citoyens
- Votre vision globale Il y a 10 moisPour quelles raisons et à quelles conditions faut-il apporter davantage de dialogue et de citoyenneté dans la société et dans l'entreprise ?L'ère du Digital verra-t-elle émerger le "Surhumain" de Nietzsche ?
- Votre vision de la société et de l'entreprise en 1 phrase
- L'ère du Digital verra-t-elle émerger le "Surhumain" de Nietzsche ?
- L'essentiel de votre point de vue en quelques lignes
- L’ère digitale confère deux pouvoirs à l’humain : comprendre le réel et changer le virtuel. Cette faculté récente d’interaction immédiate exerce une force double sur le libre arbitre et la maîtrise du destin.
- Le diagnostic que vous portez sur votre environnement professionnel, sur votre secteur d'activités, sur la place de la France en Europe et dans le monde
- D’une part, la plongée possible dans le savoir amplifie et accélère la conscience de la complexité : chacun relativise l’efficacité des leviers d’influence et mesure mieux son impuissance individuelle et collective sur les grands enjeux. La dimension humaine, et seulement humaine, de chacun est ainsi mieux appréhendée et le crédit a priori accordé à autrui fait place à l’écoute active, au doute constructif, à l’interaction et à la quête collective de vérité. C’est l’espoir d’une longue période de Lumières, productrice de découvertes de meilleures solutions à des problèmes mieux posés dans tous les domaines. Mais d’autre part, avec l’expérience quotidienne de la toute-puissance au bout du doigt, chacun peut croire que sa force virtuelle opère aussi dans le monde réel. Cette perte de contact avec la réalité produit une sensation confuse d’autosuffisance surhumaine et une altération des facultés d’autoévaluation et de respect de la diversité des personnes, des faits et des idées. Avec ce recul du discernement l’emportent le repli sur soi et les certitudes, sources de préjugés et d’enfermement intellectuel et social. C’est la perspective de l’aveuglement, de l’obscurantisme et, in fine, de l’échec personnel et général. Travaillé à la fois par la montée de la confiance en soi et de la méfiance en autrui, le citoyen élabore, tout seul et peu à peu, sa grille d’analyse toute personnelle. Aussi, sans repères fixes ni partagés, le libre-arbitre devient arbitraire dans toutes les sphères. Les décideurs et experts sont délégitimés et la poursuite d’ambitions collectives devient difficile. Cela alors même que les multiples ruptures technologique, démographique, financière, environnementale, économique nous imposent de nous réinventer ensemble !
- Les pistes que vous proposez pour développer ensemble la cohésion sociale et la performance durable
- Les Entretiens de l’Intelligence Sociale réunissent les acteurs qui veulent faire triompher le coté lumineux de la force. L’implication de tous dans la quête du vivre ensemble et du réussir ensemble suppose de transformer le fonctionnement des personnes et des systèmes publics et privés. La réussite de ce saut civilisationnel dépend de vous, personnellement… !
- Votre vision globale Il y a 10 moisPour quelles raisons et à quelles conditions faut-il apporter davantage de dialogue et de citoyenneté dans la société et dans l'entreprise ?Le Président Hollande à la rencontre de la France
- Votre vision de la société et de l'entreprise en 1 phrase
- Le Président Hollande à la rencontre de la France
- L'essentiel de votre point de vue en quelques lignes
- L’élection ne suffit pas à faire un pacte social. Entraîner un peuple suppose d’en connaître les rouages. François Hollande est élu par la conjonction de trois phénomènes, dont un seul le rend mieux synchrone avec la société que ne l’étaient ses prédécesseurs.
- Le diagnostic que vous portez sur votre environnement professionnel, sur votre secteur d'activités, sur la place de la France en Europe et dans le monde
- Pour faire entrer la France dans une nouvelle ère, un chemin est possible bien qu’étroit et nécessitant un fin pilotage. Sortez les sortants !
- Les pistes que vous proposez pour développer ensemble la cohésion sociale et la performance durable
- Les insuffisances des pouvoirs publics sont chaque jour plus visibles : déficits publics, chômage, empreinte carbone, l’immigration illégale, paupérisation, système de santé, de retraites … Aussi, dans toute élection, à compétences égales, le prétendant peut n’être qu’observateur des lacunes de l’autre et se trouve donc en situation favorable. Après dix ans de pouvoir, sauf à affirmer son impuissance à court terme sur des phénomènes profonds, la justification était donc ardue pour l’équipe de Nicolas Sarkozy. Or, pour rester aux commandes, la défense de son bilan était un prérequis à la défense de son projet. Inversement, l’équipe alternative en 2012 a quitté le pouvoir depuis dix ans. Sans passé, elle n’a pas encore de passif. Si elle a eu du temps pour penser l’avenir, attaquer le passé pouvait suffire. En 2007, bien que faisant partie de l’équipe sortante, Sarkozy était parvenu à en dissocier son image. Mais devenu chef d’équipe, il n’a plus cette possibilité en 2012. Premier avantage à Hollande. Le système politique français oblige à maîtriser son parti La deuxième prévalence pour François Hollande est propre au système politique français actuel. Aux Etats-Unis, le rôle des Présidents de partis consiste à organiser les primaires, sans avoir la possibilité de se présenter. Ce positionnement neutre du Président permet l’objectivité des primaires et garantit l’égalité des chances entre toutes les candidatures. En France, depuis la naissance de la cinquième République, les chefs d’Etat successifs ont tous non seulement dirigé, mais aussi créé leur propre parti, organe personnel de conquête du pouvoir. Seule l’inéligibilité d’Alain Juppé, le créateur de l’UMP, a permis à Nicolas Sarkozy d’obtenir l’investiture pour l’élection présidentielle. Le Président de parti par défaut qu’il est ne maîtrise pas totalement l’appareil qu’un autre a installé avec ses propres réseaux. En 2012, les écuries des éléphants du PS, Strauss Kahn et Laurent Fabius, ne pouvaient plus miser sur l’échéance suivante pour l’emporter et Martine Aubry, qui n’a été Premier secrétaire que pendant quatre ans, n’a pas eu le temps de bâtir une communion d’intérêts avec le tissu des barons locaux. Or, François Hollande a été Premier secrétaire pendant près de douze ans : il maîtrise l’appareil pour en avoir constitué et animé les réseaux entre 1997 et 2008. A gauche, François Hollande tient ainsi toutes les composantes du PS, tandis qu’à droite, Nicolas Sarkozy n’a pas complétement réussi à imposer son autorité aux différents courants de l’UMP. D’où son incapacité à remplacer François Fillon au poste de premier ministre, pour éviter qu’il ne devienne instantanément une alternative à sa propre candidature à droite. La sacralité du chef dans l’èthos français Peu protégés par leur propre camp qu’ils maîtrisaient mal, les deux protagonistes de 2007 étaient contraints à l’occupation du terrain, en démontrant sujet par sujet à chaque fraction de l’électorat qu’ils détenaient les meilleures solutions. Cet assujettissement aux contingences du quotidien les a fait descendre dans l’ordinaire : vouloir traiter les problèmes des gens en étant garant à titre personnel de l’Etat providence qui donne à chacun droits et passe-droits. Or, en France, depuis Pépin le Bref, le chef de l’Etat est sacré : le détenteur du pouvoir temporel occupe le siège du pouvoir spirituel. C’est pourquoi, à nouveau, la constitution de la Vème République tente de dissocier les deux pouvoirs : à l’Elysée les orientations stratégiques, à Matignon les déclinaisons opérationnelles. Pour les Français, le Président est celui qui doit donner les clés de la cohésion sociale et de la performance à long terme. A lui la responsabilité du rappel des valeurs, et non celle de la résolution des problèmes. Nicolas Sarkozy n’est pas entré dans ce rôle. A l’inverse, fort de l’allégeance des barons de presque toute la gauche, François Hollande était libre de s’extirper de la pression des réalités immédiates pour s’élever dans le spirituel. Ainsi, il rencontre la France en quête d’un chef d’Etat sacralisable. Pour nombre de Français, son projet est donc secondaire au moment du vote. Du discours à la pratique : le gouffre reste à combler L’équipe entrante doit à présent s’assurer que les valeurs annoncées seront bien vécues : passer du rêve à la réalité. Or, Appliquer le dogme est autrement plus compliqué que de faire de bons discours. Cela suppose un processus légitime d’évaluation de chaque personne, chaque fait, chaque idée. Aussi, François Hollande partage-t-il avec tous les dirigeants de toutes les organisations publiques et privées la responsabilité d’inventer de nouveaux modes de production de diagnostics mieux partagés et de définition de projets plus pertinents et engageants. Demander à chaque citoyen de regarder la France dans les yeux Mais au niveau de la France, la prise en main des périls suppose de traiter une crise encore plus profonde : la crise culturelle. En effet, la France qui pense avoir gagné les deux guerres mondiales, qui vénère les Louis IX, François 1er, Louis XIV ou Bonaparte qui ne sont que de brillants perdants est-elle prête à se regarder en face ? Il faut pour cela un dispositif puissant de mise en commun des savoirs, des idées, des énergies. L’enjeu consiste donc à élaborer une méthode de réflexion collective coordonnatrice des envies de travailler ensemble, de vivre ensemble et d’être ensemble. En conjuguant le règne du pensé avec la force de l’Etat centralisateur, une telle gouvernance serait capable de prolonger le génie français pour le bien de la France, mais aussi pour celui de la société mondiale. Le futur proche nous dira si François Hollande et son équipe en ont l’envie et la compétence.
CSE - Version Pro
Votre regard sur le CSE Il y a 1 anForces, faiblesses, propositions sur le Comité Social et Economique de l'entreprisesuper forces- Quelles sont les forces et opportunités du nouveau CSE ?
- super forces
- Quelles sont les faiblesses et risques du nouveau CSE ?
- attention aux risques
- Quelles sont vos propositions pour améliorer l'intérêt et l'utilité du CSE pour les entreprises et les salariés ?
- faire mieux
Management
Management Eau de ParisIl y a 4 ansComprendre et développer la relation entre dirigeants et dirigés dans l'entreprise et dans la société.Ok ????- Quel devraient être les objectifs d'un manager ?
- Ok ????
- Quelles devraient être les compétences d'un manager ?
- Ok ok ???? ????
- Quelles sont les clés de la réussite d'une réunion ?
- Ok ???? ok ???? Ok✌️
- Retraites : diagnostic et propositionsIl y a 4 ansComprendre et développer la place des retraités dans l'entreprise et dans la société.test1
- Forces
- test1
- Faiblesses
- test2
- Propositions pour la Société : que devraient faire l'Etat et les citoyens ?
- Test3
- Propositions pour l'Entreprise : Que devraient faire l'Entreprise et les salariés ?
- test1
- Santé : diagnostic et propositionsIl y a 4 ansComprendre et développer la santé dans l'entreprise et dans la société.Super force
- Forces
- Super force
- Faiblesses
- Peu de faiblesses
- Propositions
- Faire mieux
Restitution MTC 19
Le Coronavirus et vous : Enjeux, ambition et prochaine étape.Il y a 4 ansComprendre l'impact de l'épidémie.Tet- Quelles sont nos forces et nos faiblesses ?
- Tet
- Quels devraient être nos objectifs ?
- Test
- Quelles devraient être nos priorités ?
- Test
Démarche Santé globale
Santé : diagnostic et propositionsIl y a 4 ansComprendre et développer la santé dans l'entreprise et dans la société.testJf- Forces
- testJf
- Faiblesses
- TestJF
- Propositions
- TestJF
Démarche Santé globale
Santé : diagnostic et propositionsIl y a 4 ansComprendre et développer la santé dans l'entreprise et dans la société.test- Forces
- test
- Faiblesses
- test
- Propositions
- test
Manger mieux
Manger mieux - commentaires et propositionsIl y a 4 ansfgfkgfghfk- Quels sont selon vous les principaux enjeux en matière d’alimentation dans la société et l’entreprise ?
- fgfkgfghfk
- Quelles sont vos propositions à destination des différents acteurs de l’agroalimentaire ?
- jhjfhjf
- Démarche CSE : diagnostic et propositions TEST Il y a 4 ansQuelles pourraient être les projets du Comité Social Economique ?Définir un plan d'action optimal.Réponse 1
- Quelles sont les principales forces de notre entreprise ?
- Réponse 1
- Quelles sont les principales faiblesses de notre entreprise ?
- Ma réponse 2
- Démarche CSE : diagnostic et propositions TEST Il y a 4 ansQuelles pourraient être les projets du Comité Social Economique ?Définir un plan d'action optimal.Jfkfkf’
- Quelles sont les principales forces de notre entreprise ?
- Jfkfkf’
- Quelles sont les principales faiblesses de notre entreprise ?
- Nfkfkf’d
- Quelles sont vos propositions au CSE pour améliorer notre entreprise ?
- NdnndndnOui alors ce que je voudrais dire mais proposition c’est super on va améliorer notre entreprise c’est de tout transformer pour faire beaucoup mieux parce que on n’y croit et on va le faire
- Démarche CSE : diagnostic et propositions TEST Il y a 4 ansQuelles pourraient être les projets du Comité Social Economique ?Définir un plan d'action optimal.test
- Quelles sont les principales forces de notre entreprise ?
- test
- Quelles sont les principales faiblesses de notre entreprise ?
- test
- Quelles sont vos propositions au CSE pour améliorer notre entreprise ?
- test
- Votre vision de la transition énergétique, écologique et citoyenneIl y a 4 ansQuelles pourraient être les évolutions de l'énergie, de l'écologie et de citoyenneté ?Passé, présent, avenir : quelles sont les forces, faiblesses, contraintes et opportunités induites par les enjeux des énergies ?sgqgsq
- Titre de votre témoignage : l'élément le plus important à vos yeux
- sgqgsq
- Pourquoi l'Odissée du Dialogue ?Il y a 5 ansPréparation du support d'argumentaire commercialLe partage organisé d’information est la clé de l’histoire du monde. La révolution digitale convoque la révolution de la gouvernance : toutes les autorités vont devoir structurer le dialogue avec toutes leur parties prenantes.
- Pourquoi organiser des espaces de dialogue ? (les 2 ou 3 points qui vous semblent clés)
- Le partage organisé d’information est la clé de l’histoire du monde. La révolution digitale convoque la révolution de la gouvernance : toutes les autorités vont devoir structurer le dialogue avec toutes leur parties prenantes.
- Pourquoi avec nous ? (En quoi notre proposition se différencie et est particulièrement relevante ?)
- Trente ans d’expérience avec trois cents organisations publiques, sociales, politiques et économiques nous ont amené à découvrir huit familles de modèles de l’intelligence sociale, des processus de catalyse de la transformation et 50 outils de dialogue. Nous avons publié les ouvrages "L’État social de la France, de l'Europe, du monde" à la Documentation française et regroupé les outils dans le logiciel Ulis, installé dans le cloud sur le portail www.odissee.info.
- Odissée du dialogue : l'accroche (1 phrase ou slogan/baseline porteurs de sens)
- Activer l’intelligence de chacun au profit de tous ! L'autorité vraie consiste à faire jaillir les idées et initiatives.
- D’où venons-nous ? (story telling confortant la valeur de notre proposition)
- L'Odis est née de l'ONG "Les Amis de l'Odissée", créée en juin 1990 et dont l'objet social consiste à "Faire progresser la démocratie dans tous les domaines et partout dans le monde". Les nombreuses tables rondes regroupant des personnalités des sphères économiques, sociales et politiques se sont transformées en Forums citoyens puis en tours de France pilotés par des groupes de travail thématiques et dans des "Démarches intelligence sociale thématiques, territoriales et d'entreprises". De cette pratique de l'organisation du dialogue sur le terrain sont nés les concepts, processus et outils qui ensuite ont été déployés au sein des entreprises et collectivités publiques : c'est la sociologie appliquée sur le terrain qui a fait naître la discipline de l'intelligence sociale. Nous déployons la "Stratégie W" '(rédigée dès 1993 et publiée en 2013) afin de réunir les conditions qui permettent d'impliquer le plus grand nombre possible de personnes physiques et morales dans la construction d'un meilleur Vivre ensemble et d'un meilleure Réussir ensemble.
- Principaux bénéfices pour l'organisation/ entreprise (dont les compétences développées)
- Les métiers de l'Odis convergent vers le repérage et l'activation des racines de la performance durable : - Etude des acteurs, des systèmes et des liens acteurs / systèmes : comprendre le fonctionnement culturel, relationnel et managérial d'une personne ou d'un collectif - Formation au dialogue, à l'intelligence sociale, à L'état social, à Ulis : transmettre les savoirs, savoir-faire et savoir-être nécessaires à la construction de liens responsables et solidaires - Dialogue de crise, d'accélération de projet, de catalyse de l'innovation et de transformation économique et sociale : animer des réunions et forums internes ou publics réunissant des acteurs diverses par leurs intérêts particuliers, expériences, statuts, compétences et idées - Conseil et accompagnement de dirigeants sur les enjeux identitaires et d'animation des liens avec les parties prenantes 360° : changer le regard sur la Personne, l'Entreprise et la Société pour changer de chemin. Augmenter la compréhension des contextes afin d'augmenter l'ambition, l'implication, la motivation, la fidélité, l'innovation et, in fine, la cohésion sociale et la performance à long terme.
- Principaux bénéfices pour les personnes/ participants (dont les compétences développées)
- Aider chaque participant à : - mieux se comprendre, mieux comprendre l'Entreprise et mieux comprendre la société - mieux se développer, mieux développer son entreprise, mieux développer la société
- Qu'apportez-vous comme valeur/expertise spécifiques au collectif Odissée ?
- L'Odis apporte : - des savoirs regroupés dans les Modèles de l'IS, les rapports "L'état social" et le portail Odissée - la légitimité de trente années de recherche-conseil appliqué en lien étroit et pour le compte de trois cents organisations - les outils automatisés et regroupés dans le logiciel Ulis - les diagnostics thématiques, sectoriels et territoriaux regroupés dans les rapports et la bibliothèque de données.
- Que proposez vous comme thèmes/organisations cibles ? (champs d'application des espaces de dialogue)
- L'Odis veut proposer de façon systématique : - des Odissées thématiques aux grandes ONG, Médias, collectivités publiques et OIG (Organisations Inter Gouvernementales) - des Odissées territoriales aux grandes communes, départements, régions et nations - des Odissées d'entreprise aux grandes entreprises
- Votre vision de la ParitéIl y a 6 ansVos réponses permettent de réaliser une Carte des faits et des idées (Livre bleu). La qualité des débats dépend de votre témoignage.Votre témoignage alimente également le Recueil de témoignages sur la Parité.La Parité est un revelateur du mode managerial et un vecteur de transformation
- Quel est le principal intérêt de la Parité (en une phrase) ?
- La Parité est un revelateur du mode managerial et un vecteur de transformation
- Quel est l'élément le plus visible de la Parité (ou de la non Parité) aujourd'hui ?
- les femmes qui reussissent dans le sport, l'entreprise, la politique, les syndicats
- Pourquoi faut-il instaurer la Parité dans la Société et dans l'Entreprise ?
- Pour donner sa chance à chacun
- Quels sont les freins à l'instauration de la Parité dans la Société et dans l'Entreprise ?
- La difficulté d'innover, de donner leur chance aux idées nouvelles
- Que faut-il faire pour instaurer la Parité dans la Société et dans l'Entreprise ?
- Changer le management pour donner sa chance à chacun
Engagements éthiques
- Manifeste Pour un nouveau Contrat socialConstruire la responsabilité collective
- Manifeste pour le Curriculum Vitae citoyen L’engagement bénévole et volontaire concourt au bon fonctionnement de la société. Vecteur de développement des compétences, d’expériences, voire d’innovation, cette contribution doit être valorisée, notamment dans les parcours professionnels.
- Manifeste de l'Odissée Organiser le Dialogue et l'Intelligence Sociale dans la Société Et l'Entreprise
- Manifeste de la PhilanthropieLa rédaction de ce Manifeste a fait l'objet de plus de 20 rencontres du Comité Philanthropie en 2007 et 2008. Cette version est une ébauche qui suppose un approfondissement en cours. Chacun peut apporter ses remarques
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